Tuberculose :
Prédire en 48h les résistances
aux 15 principaux antibiotiques
News
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Comment préserver le microbiote cutané ?
Le microbiote cutané est un acteur clé de la bonne intégrité et de la bonne fonctionnalité de la peau. Il participe à une bonne régulation des organismes et des organes, en permettant à la peau d’assurer, notamment, sa fonction de barrière. Voir l’article « pourquoi préserver le microbiote cutané »
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Formations GenoScreen en bioinformatique 2024
Organisme de formation, GenoScreen propose aux professionnels des formations en bioinformatique pour l'année 2024. Que vous soyez novice ou expert, nos formations vous permettront d'acquérir les compétences nécessaires pour maîtriser l'analyse de données NGS et de gagner en autonomie.
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Pourquoi préserver le microbiote cutané ?
La peau constitue la première ligne d’échanges avec le milieu extérieur et de défense vis-à-vis de celui-ci avec ce qu’il porte comme défis physiques, chimiques et biologiques. Le microbiote cutané est un acteur essentiel dans ces fonctions d’échanges et de défense. Autrefois appelé « flore cutanée », il colonise chaque centimètre carré de peau. Son rôle est fondamental pour la santé cutanée et celle de l’organisme tout entier. Quels sont les facteurs qui influencent sa composition ? et ceux qui perturbent ses fonctions...
Focus
Les communautés microbiennes
Constitué(e)s par des bactéries, des archées, des protistes, des champignons et/ou des virus, les communautés microbiennes ou microbiotes, auparavant méconnus, sont aujourd’hui reconnus comme des acteurs clés du bon fonctionnement de notre organisme et de notre Environnement. Depuis 2008, GenoScreen s’intéresse particulièrement à l’étude de ces communautés microbiennes et son équipe de R&D développe, optimise et standardise diverses méthodologies nécessaires à leur étude (MetaBiote®, Whormss® etc). De l'extraction d'ADNg adaptée à différents échantillons, microbiotes humains/animaux (fèces, prélèvements cutanés, oraux, sputum, biopsies intestinales etc.) ou microbiotes environnementaux (sols agricoles/pollués, rhizosphères, air filtré etc.) à l'analyse finale des métadonnées.