Le nouveau test de détection des résistances aux antibiotiques des mycobactéries Deeplex®-MycTB, mis au point par GenoScreen, a été utilisé par une équipe de recherche internationale dans une étude d’épidémiologie moléculaire publiée dans The Lancet Infectious Diseases. Cette étude met en lumière la propagation de souches de tuberculose résistantes aux antibiotiques de première ligne, non détectées par les tests utilisés internationalement.

Avec 10 millions de nouveaux cas par an, et 1,6 millions de morts en 2017, la tuberculose est la maladie infectieuse qui entraîne le plus de décès dans le monde. Le nombre de nouveaux cas de tuberculose multirésistante apparaissant chaque année (estimé à 450 000 nouveaux cas en 2017) est un problème mondial de santé publique.

Une étude réalisée en Afrique australe, codirigée par le Dr P. SUPPLY (CNRS/CHU/INSERM/Université de Lille/Institut Pasteur de Lille), le Dr B. de JONG (Institut de Médecine Tropicale d’Anvers) et le Dr E. ANDRÉ (UCL Louvain), publiée dans The Lancet Infectious Diseases, révèle que des souches multirésistantes de la tuberculose ne sont pas détectées par les tests de diagnostic actuels, ce qui entraîne des traitements inefficaces pour les patients, une mortalité et une contagion accrues, et une accumulation de résistances additionnelles dans les souches bactériennes incriminées.

Ces résultats ont pu être obtenus, notamment, grâce au test moléculaire innovant de prédiction des antibiorésistances de cette maladie : le test Deeplex®-MycTB, mis au point par GenoScreen.

 

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